1000 km d’une traite avec une voiture électrique : voici les astuces totalement insolites à connaître

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Prêt à pulvériser les records de distance en voiture électrique ? Inspirez-vous de Jean-Kevin, notre as de la route, qui cherche à avaler 1 000 km en une seule bouchée… même s’il faut pour cela tordre un peu les lois de la nature (et de la vessie) ! Attention, astuces farfelues et conseils décalés au menu.

Jean-Kevin : roi du diesel, naufragé de l’électrique

Chez les Diesel, chaque été, c’est le même rituel : la voiture familiale déborde de bagages, la crème solaire plantée au fond d’une valise, les boules de pétanque à portée de main. Ce samedi, comme tous les ans, Roubaix-Biarritz se profile à 10 heures de conduite non-stop. Jean-Kevin, doté d’une vessie XXL et d’un appétit de moineau, s’est forgé une réputation d’athlète routier grâce à la fidèle mécanique diesel, infatigable à 130 km/h sur 1 000 km. Bon, les enfants râlent un peu… mais qui écoute les enfants, franchement ?

Catastrophe : la voiture électrique s’invite dans la course

L’entreprise de Jean-Kevin n’a pas eu froid aux yeux : « On verdit la flotte, nouveau joujou pour tout le monde ! » Résultat, notre champion écope d’une voiture électrique, parachutée dans son quotidien de cadre influent sans préavis, direct du bureau RH. Drame ? Pas totalement, puisqu’il hérite d’un SUV germanique confortable, qui promet royalement plus de 550 km d’autonomie. Mais Jean-Kevin a lu la fiche technique : « 500 km d’autonomie ? Bullshit ! Ce chiffre, je le coupe en deux, voire trois, on n’a plus rien… Que des peanuts ! »

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Pas question de décevoir les fans : Jean-Kevin doit impérativement continuer ses « JO de la route » et faire 1 000 km d’un trait, même en électrique. Heureusement, il déborde d’idées… insolites !

Les astuces (f)utiles pour avaler 1 000 km non-stop en électrique

  • L’éolienne de toit, ou comment rouler en moulin à vent
    C’est le moment de laisser parler votre MacGyver intérieur : équipez-vous d’une éolienne artisanale, solidement rivée sur le toit. À chaque kilomètre avalé, votre bolide capte l’air et recharge les batteries en direct. Au diable la physique… Qui a dit que c’était impossible ?
  • Le générateur diesel… parfum huile de frite !
    Pourquoi perdre du temps à recharger sur une borne ? Accrochez une remorque, installez un générateur (pour les puristes, fonctionnant à l’huile de friture recyclée). Petit crochet chez votre fast-food préféré pour faire le plein d’huile usagée : non seulement la route sera longue, mais à l’arrivée, vous sentirez bon la pomme de terre sautée.
  • Une descente… de 1 000 km ?
    Pourquoi grimper quand on peut descendre ? Tracez votre itinéraire en mode toboggan depuis le Mont Blanc jusqu’à la Méditerranée. La cinétique s’occupe du reste ! D’accord, il faudra sacrifier la destination ou revoir l’itinéraire. Mais c’est les vacances, non ?

Cerise sur le capot : pour régler la question des pauses pipi (qui, disons-le franchement, n’intéressent que les enfants et quelques conjoints), munissez-vous d’une bouteille en plastique. Efficace et économique ! Jean-Kevin maîtrise l’art de la route sans arrêt… mais tout le monde n’est pas taillé pour cet exploit.

L’alternative raisonnable : faire (enfin) une pause

Si vraiment vous ne vous sentez pas l’âme d’un aventurier du bidouillage, une alternative existe. Deux ou trois arrêts judicieux – comme la Sécurité Routière le conseille (et ce, qu’on roule à l’essence ou à l’électrique) – permettent de recharger pile pendant la pause pipi/café. Résultat : vous arriverez peut-être une heure plus tard que Jean-Kevin, ce héros pressé, mais plus reposé, et (peut-être) de meilleure humeur pour savourer vos trois semaines de vacances.

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Vous voyez, franchir 1 000 km d’une traite en voiture électrique, c’est possible… si l’on n’a pas peur du défi, ni du ridicule ! Sinon, quelques haltes bien placées feront parfaitement l’affaire. Après tout, le seul record qui vaille la peine d’être battu, c’est celui du bonheur à l’arrivée.

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